Je suis à l’hôtel Lost Paradise ou loge Sélène quand elle était quand monsieur le psychopathe était en vie. Etant à peine revenue, je n’avais pas vraiment eu le temps de trouver une nouvelle résidence. Comme promis, je prends soins de Sélène, très fatigué malgré son coma de plusieurs mois. A peine réveillé qu’elle est entourée de la fille du psychopathe qui a tenté de l’avoir dans sa poche. Moi avec d’ailleurs. Cette femme est vraiment bizarre… Avec William O’connell qui est de même venu, heureusement d’ailleurs, ça a fait partir la demoiselle Vendini. Il aurait sauvé la vie de Sélène. Je lui en suis très reconnaissant. Sélène est donc allongé au lit très fatigué par tous ces évènements, mais ne parvenait tout de même pas à trouver le sommeil. Je suis resté près d’elle pour tenter de la rassurer du mieux que je pouvais. Elle et moi avions déjà eu une conversation. J’ai déjà pu expliquer pourquoi je me suis fait prendre pour mort. Je tiens sa main et caresse son visage de l’autre en me contentent de lui dire qu’à présent, je suis là, que quoi qu’il arrive je la protègerais. C’est seulement quelque heure plus tard qu’elle finit par dormir rassurer. Je m’endors moi aussi sur le fauteuil près de son lit après avoir verrouillé la porte par je ne sais combien de serrure que j’ai installé.

Je finis par me réveiller, Sélène dormait encore ainsi que son corbeau. Je commence à regarder autour de moi. Y’a pas de quoi bouffer ici ? Alors qu’est-ce qu’on a… Des… Verres… Beurk. Des graines… Des fruits… Mouais pas grands choses qui soit adapté à mon hygiène de vie, fallait s’y attendre. Il faut que j’aille faire des courses. Je fais un trois clones de moi afin qu’ils puissent protéger Sélène en cas d’effraction. Puis je me téléporte au supermarché et me change d’apparence en un mes brun et pas raser histoire de ne pas me faire repérer. Bon alors… Le rayon surgelé… Oh ! Une pizza 4 fromages ! Je prends ! Faut que je fasse vite, je n’ai que 10 minutes devant moi, c’est le maximum de temps sous laquelle je peux garder cette autre apparence… Oui certes je suis aussi légèrement barbu et fin que le gars à qui j’ai pris l’apparence, mais s’est toujours plus simple comme ça ! Euh… J’ai comme l’impression d’avoir été repéré.

Mal rasé, mal lavé, on pouvait dire que j'étais dans un piteux état depuis mon dernier affrontement avec ce salaud, cette enflure, ce fils de...

Bref.

J'avais été soulagé et frustré d'apprendre sa mort. J'aurais voulu le tuer de mes propres mains, mais c'était fait, et Rain.... Non, je ne savais pas quoi penser de cette affaire. Et puis ce qu'il avait dit sur Morrigane....

En fait, cela faisait un petit bout de temps que je cogitais là dessus. L'annonce des meurtres de ces femmes ne m'avait pas étonné, et encore moins les rumeurs comme quoi on verrait de temps à autre, Vendini se balader dans les rues. J'étais presque sûr de savoir de qui il s'agissait...

Mais je n'avais pas la force de lui demander, ni même celle de la regarder en face. Je ne pouvais plus pour le moment.

Si seulement j'avais pu fuir la ville avec elle plus tôt!

J'étais en train de beuguer devant le rayon surgeler, tiraillé entre mon estomac qui me disait qu'il n'arriverais pas à avaler quoi que ce soit, et ma raison qui me disait qu'il fallait me nourrir régulièrement si je ne voulais pas perdre le contrôle de mon loup.

Bon, une petite pizza alors.

Une petite pizza?! Tu crois que ça va te suffire?!

Bon, une grande alors.... Il fallait bien que je me force...

C'est à ce moment là qu'une odeur familière me titilla les narines. J'esquissai un sourire et me tournai vers l'homme dont l'apparence ne pouvait tromper mon odorat.

- Alors, heureux que cette enflure de Vendini ne soit plus de ce monde?

- Alors, heureux que cette enflure de Vendini ne soit plus de ce monde?

Loucas... Je jette un regard noir à celui-ci et lui dit d'un ton sec et cassant.

-T'as encore l'audace de m'adresser la parole après ce que tu as fait à Sélène ?

Je reprends ma vraie apparence tout en gardant ce regard noir sur lui. Je lui en voulais. OOOOh que oui, je lui en voulais. Et dire que je ne me suis douté de rien. J'ai été sur le cul, le jour où Sélène m'a expliqué ce qui s'est passé. Je continue toujours d'un air cassant tout en faisant apparaitre mes tatouages au cas où...

-Qu'est-ce qu'elle t'a fait pour que tu l'attaques ?! Pour ensuite la séquestrer sans manger ni boire pendant cinq jours ?! Hein ?!

On pouvait voir sur mon regard que la colère commençait à monter. Pourquoi, pourquoi avoir fait ça à Sélène ?! MERDE ! Je serre les poings ainsi que les dents, attendant une réponse avant d'attaquer. Ce n'est pas parce que c'est un pote de buvette, que je vais lui pardonner une chose pareille. Et moi qui pensais que Loucas était quelqu'un de civilisé. Je comprends mieux pourquoi Vendini a été étonné au cimetière, car maintenant, il n'y a pas de quoi le défendre. D'un air cette fois énervé je lui dis.

-T'a intérêt à avoir une excellente excuse de la raison de tes actes, parce que je suis vraiment tenté à un point inimaginable de la venger par n'importe quel moyen !

Aller savoir pourquoi, mais je sens que son excuse ne va pas me satisfaire.

-T'as encore l'audace de m'adresser la parole après ce que tu as fait à Sélène ?

He bien c'était direct!

-Qu'est-ce qu'elle t'a fait pour que tu l'attaques ?! Pour ensuite la séquestrer sans manger ni boire pendant cinq jours ?! Hein ?! T'a intérêt à avoir une excellente excuse de la raison de tes actes, parce que je suis vraiment tenté à un point inimaginable de la venger par n'importe quel moyen !

-C'était un sbire de Vendini. Lançais je froidement. Il me fallait un appât pour avoir cette enflure.


Je m'étais légèrement courbé, prêt à me défendre en cas d'attaque soudaine, ce qui était fort probable.

Il finit par me répondre aussi froidement que moi.

-C'était un sbire de Vendini. Il me fallait un appât pour avoir cette enflure.

Il avait l'air lui aussi à se préparer à mon attaque. Il a dû bien comprendre que son excuse n'était absolument pas valable. Par rage mes tatouages commencent à monter sur mes joues.

-C'est tout ce que tu trouves à dire pour justifier tes actes ?! Je n'appelle pas cela une vraie raison !

Je me téléporte aussitôt la phrase finie pour me retrouver derrière lui en lui donnant un violent coup sur la nuque pour le mettre à terre. Il n'avait pas l'air en forme en plus, c'est parfait ça. Je le relève de mes deux mains par le col pour le cogner violemment contre le mur. Nos visages se trouve face à face à présent, mes tatouages viennent de prendre tout mon corps afin de pouvoir lancer tous les sorts dont je suis capable de faire. Le maintenant contre le mur, je lui explique toujours d'un air menaçant.

-On n'attaque pas des inconnues sans savoir les raisons pour lesquelles ils sont alliés à ton ennemi. Tu ne sais pas pour quelle raison Sélène à travailler pour Vendini ! Tu n'avais pas à la mêler dans ton combat contre ce fou ! Ben tiens d'ailleurs tu sais pourquoi elle était tant dévouée à son patron ?! Parce qu'elle lui devait deux fois d'affiler la vie ! Elle voulait le remercier aussi de lui avoir donné un logis, des vêtements et de la nourriture sans même la connaitre ! Ça ne veut pas dire pour autant que Vendini est un chic type, non. étant donné qu'il a fait tout ça pour mieux la manipulé. Mais tu vois très bien que Sélène avait de bonnes raisons à défendre son patron, à sa place, je pense que tu aurais agi comme elle, mais elle n'a absolument pas mérité ce que tu lui as infligé ! Ordure !

Je le balance contre un rayon qui s'écroule sous le poids de Loucas. Ce n'est pas suffisant ! Non, il n'a pas asses payé, le temps qu'il se relève j'invoque mon sabre prêt à attaquer de nouveau.

-C'est tout ce que tu trouves à dire pour justifier tes actes ?! Je n'appelle pas cela une vraie raison !

Il disparu et la surprise m’empêcha de réagir lorsqu'il réapparut derrière moi et me cogna la tête contre le mur.

-On n'attaque pas des inconnues sans savoir les raisons pour lesquelles ils sont alliés à ton ennemi. Tu ne sais pas pour quelle raison Sélène à travailler pour Vendini ! Tu n'avais pas à la mêler dans ton combat contre ce fou ! Ben tiens d'ailleurs tu sais pourquoi elle était tant dévouée à son patron ?! Parce qu'elle lui devait deux fois d'affiler la vie ! Elle voulait le remercier aussi de lui avoir donné un logis, des vêtements et de la nourriture sans même la connaitre ! Ça ne veut pas dire pour autant que Vendini est un chic type, non. étant donné qu'il a fait tout ça pour mieux la manipulé. Mais tu vois très bien que Sélène avait de bonnes raisons à défendre son patron, à sa place, je pense que tu aurais agi comme elle, mais elle n'a absolument pas mérité ce que tu lui as infligé ! Ordure !

Il me balance contre le rayon. Tsss dommage, je l'aimais bien ce gars.

Je me relevai péniblement.

-Tu es trop gentil mon gars, si Vendini était toujours vivant il t'aurait bouffé. C'est pas parce qu'une personne t'aide que tu lui dois forcément une fidélité à toute épreuve. Surtout que Vendini voulait te tuer. Elle ne doit pas t'aimer tant que ça alors. Et puis tu oublie une chose, en tant que tueur à gages...

Je me retrouvai en une demie seconde derrière lui.

-...Je ne suis pas quelqu'un de fondamentalement gentil.

Je saisis son poignet avant qu'il n'aie pu esquisser le moindre mouvement et lui tordu jusqu'à ce qu'il adopte un angle peu naturel.

-Tu oublie aussi que je suis un loup garou.

Dominant, qui plus est, mais ça il n'avait pas besoin de le savoir. Personne n'avait besoin de le savoir. Je ne voulais pas d'une meute dans les pattes.

Je le saisis par la gorge et l’expédiai sans mesurer ma force, le faisant traverser plusieurs rayons d'un seul coup.

-Je n'ai pas envie de me battre avec toi, ce serait stupide de s'entre tuer alors que Vendini a tout fait pour cela de son vivant. Oui, ce serait comme accomplir sa dernière volonté.

Je haussai les épaules et me dirigeai vers la caisse tandis que les vigils du magasin se précipitaient vers nous.

-Et je n'ai pas envie de lui faire ce plaisir.

Loucas se relève péniblement après mon attaque.

-Tu es trop gentil mon gars, si Vendini était toujours vivant il t'aurait bouffé. C'est pas parce qu'une personne t'aide que tu lui dois forcément une fidélité à toute épreuve. Surtout que Vendini voulait te tuer. Elle ne doit pas t'aimer tant que ça alors. Et puis tu oublie une chose, en tant que tueur à gages...

Il disparait, très certainement par la vitesse.

-...Je ne suis pas quelqu'un de fondamentalement gentil.

Entendant sa voie venir de derrière mon dos je me tourne brusquement vers lui, il me saisit le poignet pour me mettre en angle mort. J’étais comme paralysé par le geste, putin le con…

-Tu oublie aussi que je suis un loup garou.

Le regardant toujours d’un air froid, je me fais saisir la gorge ce qui me fait lâcher une petite grimace. Puis bang ! Des rayons à encaisser. Bang et un ! Bang et deux ! Bang et trois ! Bref…

-Je n'ai pas envie de me battre avec toi, ce serait stupide de s'entre tuer alors que Vendini a tout fait pour cela de son vivant. Oui, ce serait comme accomplir sa dernière volonté.

Il se dirige vers la caisse. Ma rage monte plus encore.

-Et je n'ai pas envie de lui faire ce plaisir.
Je me relève grimaçant de douleur, mes tatouages montent jusqu’à prendre aussi mon visage pour faire des soins.

-Toi aussi tu oublies une chose…

Je me téléporte pour apparaitre en face de lui et lui donne un coup de poing au visage.

-Je suis un sorcier.

Je fais apparaitre deux clones derrières lui qui le pousse brusquement et violement en arrière, un humain aurait le crâne cassé, mais je doute fort que ce soit son cas à lui. Je fais apparaitre deux clones en plus pendant qu’il tombe au sol, pour plus qu’il sache qui est le vrais Thibalt, parmi ces cinq Thibalt, mais surtout, pour être prêt à attaquer. Les clones et moi invoque des sabres prêt à attaquer à nouveau à la moindre riposte du lycan. La lame près de son cou, j’approche mon visage près du sien et lui dit froidement.

-C’est dommage je t’appréciais, la petite soirée à picoler était sympas. Mais Tu vois je suis très rancunier, et je me contre fiche des volontés de Vendini. De toute façon il n’est pas là pour assister à cela, et je ne peux pas en rester là avec ce que tu as fait à Sélène.

Je plante mon sabre dans une épaule de Loucas le clouant au sol.

-Tous ceux qui font souffrir Sélène payerons cher, peu importe si mon sentiment pour elle n’est pas réciproque, la protéger est devenue mon seul but. Je la connais avant même qu’on apprenne à marcher, on a grandi ensemble, et j’ai déjà fait trop d’erreur qui lui on couter cher. Ça ne m’étonnerais pas qu’elle ne m’apprécie pas autant que je l’apprécie moi, je l’ai abandonné deux fois pensant que ça la protègerais.

Oula je parle trop la… Faut que j’arrête. En plus je me perdais peu à peu dans ce que je dis, je ressens quoi pour Sélène au juste ? Je me concentre à nouveau sur Loucas. Pour attaquer à nouveau.

Il fait à nouveau son truc avec les clones et je me retrouve de nouveau à terre.

Si ça lui fait plaisir.... Après tout, qu'est ce qu'il me reste....

Une vengeance?

Rayan est mort, Vendini aussi.......

L'amour?

Morrigane est morte... enfin, il me semble, et Rain........ Rain...... J'ai sacrément foiré sur ce coup là..........................

Et donc, au final, il ne reste plus grand chose, pour ne pas dire rien.

-C’est dommage je t’appréciais, la petite soirée à picoler était sympas. Mais Tu vois je suis très rancunier, et je me contre fiche des volontés de Vendini. De toute façon il n’est pas là pour assister à cela, et je ne peux pas en rester là avec ce que tu as fait à Sélène. Tous ceux qui font souffrir Sélène payerons cher, peu importe si mon sentiment pour elle n’est pas réciproque, la protéger est devenue mon seul but. Je la connais avant même qu’on apprenne à marcher, on a grandi ensemble, et j’ai déjà fait trop d’erreur qui lui on couter cher. Ça ne m’étonnerais pas qu’elle ne m’apprécie pas autant que je l’apprécie moi, je l’ai abandonné deux fois pensant que ça la protègerais.

Je le fixai dans les yeux, impassible.

-T'es lourd avec ta morale de chevalier blanc. Sitôt qu'un autre claquera des doigts, elle accourra et te laissera là, comme un con.

Puis je reposai la tête contre le sol en ricanant.

Ou plutôt était ce les nerfs qui lâchaient doucement.

Loucas finissait pour se laisser faire et ne ripostait même pas à mes attaques. Etrange... Je finis donc par froncer les sourcils, d’un air perplexe, il peut toujours préparer un truc balèze sans que je m’en rende compte et ne me doute de rien.
-T'es lourd avec ta morale de chevalier blanc. Sitôt qu'un autre claquera des doigts, elle accourra et te laissera là, comme un con.

Il commence à ricaner ce qui a pour don de m’énerver. Je plante mon sabre dans son épaule histoires de le couler au sol. Je serre les dents.

-Je t’interdis de dire une chose pareille sur Sélène. Elle n’est pas une putin comme tu le pense, elle ne saute pas sur le premier venu qui claquera des doigts comme tu dis.

Alors que j’avais l’air énervée et sur de moi dans le combat mon regard s’attriste, au fond, il a plus ou moins raison. Dès qu’elle trouvera quelqu’un d’autre qui pourra mieux s’occuper d’elle que comme je m’occupe moi d’elle, elle partira. D’ailleurs, ce William l’a sauvé et à prix soin d’elle pendant mon absence, à tous les coups, elle va aller vers lui pour ce sentir plus en sécurité. Je soupire, ne faisant plus trop attention à Loucas. Un clone plante son sabre dans son autre épaule de façon que la lame perse aussi le sol. Ce qui me fait revenir sur terre un jetant un bref coup d’œil sur le lycan. Il est en total déprime lui aussi ? Il ne se défend même pas. Bon, d’un cotés je ne vais pas m’en plaindre, je veux qu’il souffre. Je commence à remuer la lame de mon sabre pour élargir la plaie d’un air neutre, comme si ce que je faisais est tout à fait normal. Je soupir à nouveau, on peut dire que Loucas à toucher un point sensible. Alors que j’étais accroupie, je finis par me lever pour lui donner un coup de pieds dans les côtes et lui dit d’un ton sec.

-Et arrêter de me comparer avec un chevalier. Je suis loin, très loin d’en être un, et cette comparaison commence à devenir agaçante...

La Vendini qui me compare a un chevalier en arme doré et maintenant Loucas qui me compare à un chevalier blanc. Sont-ils vraiment au courant du principe d’un chevalier ? Parce que je n’ai pour le moment effectuer aucune action qu’un vrais chevalier ferais. Bref, je m’égare. Je porte donc à nouveau l’attention sur Loucas, réfléchissant à un moyen de torture pour le faire payer ces méfait auprès de Sélène.

Je serrai les dents lorsqu'il planta son sabre.

-Je t’interdis de dire une chose pareille sur Sélène. Elle n’est pas une putin comme tu le pense, elle ne saute pas sur le premier venu qui claquera des doigts comme tu dis.


Rain n'en est pas une non plus, et pourtant....

-Et arrêter de me comparer avec un chevalier. Je suis loin, très loin d’en être un, et cette comparaison commence à devenir agaçante...

Je soupirai.

-Si tu le dis... bad boy. En tout cas, rien de ce que tu feras ne surpassera la dernière personne qui m'a blessé.

Oh et puis finalement ça me soûlait de rester là, j'étais venu acheter deux trois trucs pour me terrer de nouveau chez moi pour une période plus ou moins longue.

Je pliai un bras et retirai un premier sabre puis retirai l'autre sabre, histoire de me libérer. Maintenant je me redressai, totalement blasé.

-Tu me gave. Laissais je tomber, tel une sentence avant de l'assommer, lui et tous ses clones, contre les barres métalliques des rayons.

-Si tu le dis... bad boy. En tout cas, rien de ce que tu feras ne surpassera la dernière personne qui m'a blessé.

Je lève les yeux au ciel, bad boy, ce gars commence vraiment à me taper sur les nerfs. Il finit par se libéré sans difficulté les sabres, d’un cotés ce n’est pas très compliquer.

-Tu me gave.

Il tente de m’assommer après avoir fait disparaitre mes clones, je me téléporte derrière lui et l’attaquer sans attendre en lançant un sort de jet de flamme. Sa vitesse peut être surement suffisante pour esquiver, je ne pense pas qu’il soit débutant dans un combat. Enfin de compte je crois même qu’il peut me battre… Je ne disais plus rien jugeant que ce n’étais plus nécessaire de lui parler maintenant. Je me téléportais à nouveau avant qu’il n’attaque à nouveau et récupère mon sabre. J’avais pris un air sérieux qui n’est pas habituelle, je lui fait une plaie importance sur son bras et plante mon pouce.

-J’en ai pas fini avec toi, et on va éviter que des innocents soit blessé en réglant nos comptes ici.

Puis je me téléporte avec Loucas, étant donné que mon pouce est dans son bras grâce à la plaie. On se trouve maintenant dans la forêt, c’était le lieu le plus sûre pour les règlements de compte sans victimes d’accidents.